Le blog « Rue des Vinaigriers » vous invite à découvrir le charme de cette rue d’artistes, d’artisans et de
créateurs.
Outre un annuaire de tous les professionnels de la rue et du quartier, il propose également des informations
associatives, culturelles et commerciales ;
des annonces ; un peu d’histoire ; des informations pratiques et des billets d’humeur.
Rue des Vinaigriers.com est une initiative de la boutiqueZigouzis
La date de publication des articles
vous évitera de vous rendre à un RV qui a eu lieu... l'an dernier
Les 20 créatrices sont installées et je vous assure qu'il y a plein de belles, de très très belles surprises au rendez-vous !
Venez donc prendre un verre de punch avec nous et vous faire expliquer comment chacune crée ses petits morceaux de poésie et de gourmandise qui vont donner un air de printemps à la rue des Vinaigriers !
Chez Zigouzis, la petite boutique de créateurs du 49 rue des Vinaigriers, il y a du nouveau toute l’année, au fil de trouvailles souvent surprenantes.
Malheureusement, même en « rentabilisant » l’espace du sol au plafond, toutes les découvertes de la responsable ne sauraient tenir sur 20 m2 !
Alors de temps en temps, elle organise une exposition de créateurs en « délocalisant » sa boutique pour deux jours à l’Atelier Porte Soleil, au bout de la rue !
Air de printemps est la prochaine. Elle permettra à tous les amoureux de la création de découvrir d'étonnantes idées cadeaux tout public à (s')offrir en toutes occasions, de Pâques à la fête des mères.
Lesamedi 31 mars etle dimanche 1er avril, une très belle sélection decréateurs et d'artistes accueilleront autour d’un verre tout ceux qui ont envie de se laisser surprendre par leur talent.
Vêtements adultes et enfants, bijoux, déco, art de la table, papeterie, gourmandises, accessoires pratiques... Il y en aura pour tous les (bons) goûts !
Que leurs créations s'adressent aux adultes ou aux enfants, les artistes attendus pour souffler un Air de printemps sur la rue des Vinaigriers ont pour dénominateurs communs l'inventivité, la perfection et la satisfaction de leurs clients.
Mais ce n'est pas tout ! Si vous choisissez de venir le samedi, allez donc dîner au restaurant le O'39 (comme son nom l'indique, 39 rue des Vinaigriers) : l'apéro y sera offert sur présentation du flyer.
La boutique Zigouzis sera ouverte tout le week-end : pour fêter ses 7 printemps, une remise de 10% sera oferte sur présentation du flyer.
Et si vous ne l'avez pas trouvé dans le quartier (quasi impossible) vous pouvez le télécharger en cliquant sur la petite image de gauche.
Eh non, la Saint Valentin n'est pas une invention de commerçant ! L'histoire est aussi ancienne que celle du Père Noël.
Tout commence à Rome, quelques siècles avant notre ère. Chaque 15 février, les Romains fêtaient les Lupercales, en l'honneur du dieu Faunus.
Ce dernier était le descendant de Saturne (l'équivalent du Chronos grec.). Divinité protectrice des troupeaux et de leur fécondité, Faunus s'attaquait aussi aux loups, d'où son surnom de Lupercus (lupus signifiant "loup", en latin.).
Souvent représenté avec des jambes et des cornes de chèvre, cette divinité fut ainsi associé au dieu Pan de la mythologie grecque.
Le 15 février, les douze luperques, prêtres de Faunus (ils s'agissait de jeunes hommes.), se réunissaient dans la grotte du Lupercal, au pied du mont Palatin (c'est à cet endroit que Remus et Romulus, selon la légende, auraient été allaités par une louve.).
Les douze luperques, vêtus d'un simple pagne, sacrifiaient alors un bouc. Puis, le prêtre sacrificateur posait le couteau empreigné de sang sur le front des luperques, sang qui était ensuite essuyé avec un flocon de laine trempé dans le lait.
A ce moment là, les douze hommes riaient aux éclats, puis couraient dans les rues de Rome. Armés de fouets en peau de bouc, ils fouettaient alors les jeunes femmes afin de les rendre fécondes (le bouc était symbole de fécondité.).
Saint Valentin, de son vrai nom Valentin de Terni, était un moine qui vécut à Rome au cours du III° siècle après Jésus Christ (à noter qu'il était évêque selon certaines sources.). Cet homme de foi était réputé pour marier des couples selon les rites de l'Eglise, et venait en aide aux chrétiens persécutés. L'Empereur Claude II le Gothique, ayant appris les agissements de Valentin, décida alors d'emprisonner ce dernier.
Dans sa cellule, le moine rencontra Julia, fille de son geôlier. La jeune femme, aveugle de naissance, entretint alors des relations amicales avec le captif.
Puis un jour Julia retrouva la vue, alors qu'elle s'entretenait avec Valentin.
Ce dernier fut alors immédiatement présenté devant l'Empereur (que le moine tenta, en vain, de convertir au christianisme.). Claude II, impitoyable, ordonna la mise à mort du prisonnier.
Le 14 février 269 après Jésus Christ, Valentin fut tout d'abord roué de coups par les légionnaires, puis, refusant de mourir, il fut finalement décapité.
Après de nombreuses années, en 494 après Jésus Christ, le pape Gélase I° décida d'interdire la fête païenne des Lupercales, fêtée le 15 février. Il préféra alors lui substituer la fête de la saint Valentin, célébrée le 14 février (date officielle du décès de Valentin.).
A noter toutefois que certains historiens considèrent que la saint Valentin ne naquit pas au cours du V° siècle après Jésus Christ, mais quelques siècles plus tard, au cours du Moyen âge...
Alors le 14 février prochain, vous pouvez toujours, messieurs, courser votre belle dans les rues armé d'un fouet... Mais je ne suis pas sûre que le résultat soit à la hauteur de vos espérances...
Rue des Vinaigriers, il y a bien mieux à faire.
Un bijoux dépourvu de banalité chezZigouzis?
Un dîner aux chandelles O'39 (pensez à réserver)
De belles fleurs ou un cadeau nature à La galerie végétale ?
Histoires imaginées par les élèves du CPA de l'école élémentaire 17, rue de Marseille 75010 Paris
Rédigées par Marie Duviagnau et Florence Sautereau. Illustrées par Lou Parnaudeau d'après les dessins des enfants.
Narou le Kangourou quitte son pays l'Australie et voyage à la découverte du monde grâce à un parapluie magique. Partez avec lui !
Barca le crabe s'ennuie dans la mer Méditerranée. Il se glisse dans la valise d'une petite fille. Et en avant l'aventure !!
Des histoires de voyages, de rencontres et d'amitiés. Coll. Jeunesse l'Harmattan, ISBN : 978-2-296-56487-9 • octobre 2011 • 50 pages Prix éditeur : 7,5 € à partir de 5 ans
Ce mercredi 30 novembre à partir de 18h - mais même un peu avant peut-être et jusqu’à bien tard sûrement - on vous invite avec BRECHT EVENS l’auteur des NOCEURS (coup du cœur 2010 !)
Il nous revient avec un nouveau masterpiece: LES AMATEURS (actes sud BD) ou la chronique sincère ET cynique dune biennale d'art où se mêle comme à l'accoutumée grands moments et petites choses... le tout sublimé par les aquarelles du maître... (en expo à la galerie martel à voir absolument)
Et puis ce vendredi 2 décembre à partir de 18 h00 c’est le retour d’AURELIA AURITA & BENOIT PEETERS la première nous offre avec f. BOILET (qui s’excuse de pas pouvoir venir on lui pardonne) la relecture de l’enfant sauvage avec VIVI DES VOSGES un livre tout en couleurs expressionnistes pour une réflexion sur la place de l'enfant dans la société...et de la culotte dans la vie.d' une jeune fille sauvaaaaaaage...
Benoit est son éditeur et vient également fêter la réédition du GUIDE DES CITES et Autres lectures... ( on pensait inviter aussi Chris WARE, sans blagues) mais c’est trop compliqué ! Allez l écouter le 9/12 à beaubourg.
Philippe le libraire
32 rue des vinaigriers parisXème
0140381139
M°J-Bonsergent de11h11 à 14 & de 15h15 à20 sauf le mardi
Chez Zigouzis, ma petite boutique de créateurs, il y a du nouveau toute l’année, au fil de trouvailles souvent surprenantes.
Malheureusement, même en « rentabilisant » l’espace du sol au plafond, toutes mes découvertes ne sauraient tenir sur 20 m2 !
Alors j’ai pris chaque année pour habitude, au moment de Noël, de « délocaliser » ma boutique pour deux jours à l’Atelier Porte Soleil, au bout de la rue !
La 4eédition de Réinventez Noël s’articulera cette année autour de la mode ; des bijoux ; de l’univers enfant et de la déco.
20 créateurs y accueilleront, autour d’un verre de vin chaud, tout ceux qui ont envie de se laisser surprendre par leur talent et de (se) faire plaisir en réinventant Noël à « prix atelier ».
C’est également pour moi l’occasion de partager mes coups de cœur de l’année.
En invitant en dédicace Nathalie Almeida et Tatiana Domas, deux spécialistes de la littérature jeunesse.
En vous offrant de tester le PonyCycle et la Drifter, deux incroyables jouets qui ne sont habituellement proposés qu’en ligne.
En proposant aux enfants de rencontrer le Père Noël !
La BA(ï)TA – C’est un univers féminin, élégant, intemporel, et audacieux
Passionnée par les matières et les couleurs, cette jeune créatrice décline une collection de sacs et accessoires mariant des cuirs tendances et des tissus originaux.
Des pièces uniques toutes réalisées dans son atelier parisien.
L’édition hiver 2011/2012 présente des modèles toujours plus colorés déclinés en différents formats pour répondre à toutes vos attentes!!!
Du fait main, de l’originalité et du cuir de qualité pour des sacs aussi délicats au toucher que ravissants à regarder.
Agdal – Isabelle vit dans la campagne creusoise, elle est toujours en quête de matériaux nobles et d'originalité. C'est ainsi que depuis des années, elle confectionne des accessoires et des vêtements pour ses proches.
Depuis mai 2010, voulant partager ses créations, elle donne naissance à la marque Agdal. Nom qui renvoie aux jardins persans considérés comme le paradis sur Terre.
Agdal vous propose des accessoires uniques réalisés entièrement à la main. Ce sont tout d'abord des sacs en tissu avec des imprimés chatoyants et un large panel de couleurs. De plus, l'élaboration de ces sacs mêle les matières : tissus, rubans, dentelles... vous offrant ainsi un objet rare.
Agdal, c'est aussi des bandeaux pour les cheveux, des trousses, des porte-monnaie. Mais aussi des accessoires de mode: ceintures, chapeaux de pluie, sac-pochettes en lin, coton, et autres matières nobles.
Dominica Carla Gioia – Elle crée ses modèles suivant son inspiration au fil des saisons.
Son fil conducteur pour renouveler ses collections : originalité et couleur.
Elle se laisse guider par les matières qu'elle mélange, découpe, assemble.
Des coupes sobres réalisées dans ses tissus "coup de cœur" et choisis avec soin.
Tous les voyages sont permis... tissus japonais, wax africain, vintage, graphique....
Laissez vous séduire par la création qui vous mettra en valeur !
Min JI Vincent Song - Créatrice de mode de 34 ans, mariée, un enfant, elle est originaire de la Corée du Sud.
« J’ai commencé en tant que styliste de mode dans la lingerie pendant 5 ans en Corée. Puis je suis devenu responsable stylistique chez KANEBO (entreprise japonaise). J’ai un diplôme de master 2 en marketing de la mode de l’École internationale de MODART à Paris . Depuis 2009, j’habite à Avignon où j’ai lancé une marque en collaboration avec une désigner textile. C’est en 2011 que j’ai lancé ma propre marque SONG.
Mon inspiration vient de Vivienne Westwood et de Yohji Yamamoto. J’apprécie beaucoup les tissus utilisés pour la lingerie comme la soie, laine, coton fin, etc. J’adore les couleurs mais cela doit rester sobre.
Je recherche à créer des modèles originaux tout en restant sobre. C’est par les détails que créations se démarque »
Utile ou futile : dépourvu de banalité
Little Moments – Carnets, albums photos, livres, boîtes à secret, cartes, livre d'or et principalement des carnets d’écriture pour consigner tous les petits et grands moments de la vie. Caroline mêle sans complexe cartonnage,écriture, aquarelle, scrapbooking pour un résultat qui mêle l’utile à la poésie.
MA.Lice – « Ma voie était sans doute toute tracée… Toute petite je passais tous mes mercredis à modeler des objets, dessiner, peindre etc dans un petit atelier du 14e arrondissement. J’en ai d’ailleurs encore un souvenir immuable ! (d’où certainement ce rappel de l’enfance que l’on retrouve dans mes créations).
Vers l’adolescence je m’amusais à reproduire des tableaux de grands maîtres (Kandinsky , Mondrian, Picasso et j’en passe…) j’adorais cet exercice car il me permettait de me plonger à la fois dans leur univers et surtout d’analyser la construction de l‘œuvre, c’est sans doute à ce moment là que j’ai appris à observer ce qui m’entoure.
La création a toujours été un refuge, une bulle dans laquelle je suis paisible et je m‘épanouis.
J’ai passé un Bac Littéraire avec option Arts plastiques (Histoire de l’Art et pratique) et 4 ans après j’ai été diplômée en 2006 en tant qu’architecte d’intérieur / designer d’environnement.
Ma.lice a été créé en 2007 à l’occasion de la présentation de «ma nappe» au salon «Maison et Objet». Une nappe en silicone faite sur-mesure, à la demande des clients.
Parvenir à m’adapter aux souhaits de chacun pour donner une dimension originale à mes créations est l’un de mes principaux objectifs. »
Ma.lice explore actuellement l’univers onirique et intemporel de l’enfance, un clin d’œil espiègle destiné à réveiller en nous la joie de ce moment de l’existence.
Edwige Bueno – Edwige est passionnée de loisirs créatifs depuis plus de 15 ans. Cette passion lui vient de la magie du « fait maison » ou l’art de transformer, en objet décoratif ou plus usuel, des matières brutes. Après s’être adonnée à la peinture sur soie, la création de bijoux en perles et autre couture et tricot, elle se passionne, il y a 5 ans, pour la céramique. Edwige découvre le travail de l’argile après un stage découverte où la création de pièces au tour de potier fut une vraie révélation. Formée à l’Atelier des Arts et Techniques Céramique pendant 1 an en cours du soir, Edwige, travaille le grès blanc pour sa plasticité et ses possibilités de décors. Elle décide de créer ses propres émaux de façon autodidacte afin de découvrir d’autres nuances que ceux proposés dans le commerce.
La pratique de sa passion lui apporte patience et sérénité. Le travail au tour de potier impose de laisser le temps à la terre de suivre le mouvement des mains.
Cet ensemble de création et de recherche lui permet de créer des pièces originales et uniques. Elle puise son inspiration dans la nature et le retour aux sources dans des teintes naturelles.
Toshiko YASUMOTO – Cette calligraphe instalée en France depuis 1969, est japonaise et enseigne la calligraphie japonaise à l’Association des Ressortissants Japonais en France depuis 1978. Outre des expositions régulières, elle donne également des stages dans des écoles, dont l’École Normale Supérieure, et divers centres culturels en France.
Elle est reconnue dans cet art mariant la beauté et le sens – souvent plus complexe que la signification – de l'idéogramme écrit par le pinceau.
L brode pour Léo – « Artisan brodeur, passionnée par mon métier dont le savoir-faire est l'héritage de 2 générations, je crée en exemplaire souvent unique des sacs à main , des pochettes où se glisse la lingerie, les chaussures et tout notre bazar... ces objets textiles sont autant de supports à mes broderies, de la petite phrase brodée en chaînette sur mes pochettes, au sac à main perlé, clouté en passant par mes aumonières richement brodées de métal et inspirées du Moyen-Âge ».
Bijoux 100 % faits main, 100 % uniques
Diatomée – « Depuis de nombreuses années je crée des bijoux et objets pour ma famille ou mes amis. J’ai pu tester différentes matières comme la terre, les émaux, la pâte polymère, … Mais lorsque je découvre le verre filé en mars 2010, je suis tout de suite conquise et fascinée par le travail de ce matériau.
Les perspectives sont infinies et permettent de fabriquer des bijoux uniques au gré de mon inspiration. Après 1 an de pratique, je décide de créer ma marque de bijoux et objets en verre filé : Diatomée.
Je fabrique chaque perle au chalumeau et je les monte ensuite en colliers, boucles d’oreilles et accessoires en choisissant avec soin mes apprêts. Mes créations reflètent ma personnalité : originale mais discrète. Pour mes bijoux, je privilégie les matières cuivrées pour la chaleur qui s’en dégage et qui contraste avec le verre, mais je monte cependant certains modèles sur argent afin de sublimer les couleurs et m’adapter aux peaux délicates ».
Les Bijoux d’Ari – D'origine de Lettonie, Ari vit depuis plusieurs années à Paris. Après avoir terminé ses études, elle décide de vivre son rêve ! En 2009 elle lance sa marque Les Bijoux d’Ari Paris. Depuis 2 ans déjà elle travaille dans son petit atelier en détournant le tissu sous toutes ses formes pour créer des bijoux hors du commun…
La marque Les Bijoux d’Ari est née en 2009 avec ses premières créations touchantes et poétiques en textile. En s’adaptant aux tendances actuelles de simplicité et de confort Les Bijoux d’Ari se spécialise tout particulièrement dans la création de sautoirs – modèles faciles à porter au fil des saisons… Les jolis tissus… soie, liberty, tissu japonais… sont la source d’inspiration pour Les Bijoux d’Ari qui les transforme avec habilité en modèles joyeusement créatifs, confectionnés à la main, pièce par pièce, d’où leur qualité irréprochable et l’unicité de chaque création. Les modèles des plus classiques aux plus extravagants pour combler les envies de chacune, mais toujours créatifs et féminins. Les formes agréables, les couleurs harmonieuses, les détails délicats sont au cœur des collections éclectiques des Bijoux d’Ari. Elle privilégié les matériaux naturels pour un contact agréable avec la peau… coton, soie, cuir, dentelle, pierres fines… Les chaînes en laiton ne causent pas d’allergies, elles ont étaient traitées pour avoir une touche « ancienne » et ne changent pas d’aspect avec le temps.
What a Mess – Inspirée par la culture coréenne dont elle est originaire, mais aussi par la France, sa terre d'accueil, What a Mess nous plonge dans un univers romantique, féminin et un brin rétro.
What a Mess créé au gré de ses envies et de ses humeurs, son propre univers, qu'elle nous livre à travers chacun de ses bijoux.
What a Mess vous présentera ses dernières collections, créées à partir de perles de négatifs photo usagés et de médaillons peints à la main. Chaque pièce est faite à la main et en exemplaire unique, pour préserver l'individualité de chacun.
Elle utilise des perles en cristal ou en pierre naturelle, du laiton, du plaqué argent, de l'argent sterling.
Origami Gems – « En tant que journaliste, je passe beaucoup de temps à lire et à écrire. Régulièrement, j’ai besoin de réaliser des choses concrètes de mes mains. Un jour, j’ai trouvé plaisir à plier du papier des soirées entières, me concentrant sur des casse-tête d’origami avec un calme et une patience, qui m’ont étonnée moi-même. Il en est sorti toutes sortes de formes formidables : des oiseaux de différentes espèces dans des attitudes diverses, des fleurs, des formes géométriques… J’ai trouvé dans l’origami une expérience relaxante similaire à celle ressentie en travaillant l’argile au tour.
En me regardant ainsi absorbée, mon mari restait perplexe : « à quoi cela pouvait-il servir ? » C’est qu’il n’avait pas ressenti cette satisfaction simple de réaliser quelque chose de beau de ses dix doigts! Mais sa remarque m’a fait réfléchir… J’ai d’abord décoré les plafonds de mes voisins de fleurs, cubes et multiples formes aux merveilleux noms japonais.
Plier des origamis miniatures fut une autre façon de ne pas me faire envahir par ces volumes de papier… Et un nouveau défi ! Et pourquoi ne pas faire de ces petits trésors des bijoux ?! Là, j’ai vu l’œil de mon mari s’éclairer : « enfin une application pratique... Et potentiellement lucrative ! » pensa-t-il. Commercial de son métier il a beaucoup plus l’esprit commerçant que moi et ce savoir-faire allait se révéler bien utile par la suite... Personnellement j’ai d’abord vu de beaux cadeaux, originaux et personnels à offrir à Noël. Puis, en me prenant au jeu et au fur et à mesure que je m’améliorais, j’ai pensé à les proposer à la vente. L’essai fut un succès à chaque étape de développement : amis, puis boutiques, puis marchés, expositions… J’avais trouvé à mes origamis un destin plus glorieux que de finir écrasés par notre petite fille !
J’espère que vous aimerez ces légers ornements. L’origami n’est pas censé servir à quoi que soit d’autre que d’incarner la beauté et la fragilité d’une création éphémère. J’ai un peu triché en plastifiant mes pliages. Ils peuvent ainsi durer, portés sur du métal avec des perles, des pierres, des plumes et même de l’argent.
Rien ne me fait plus plaisir aujourd’hui que de créer de nouveaux modèles de bijoux. C’est pourquoi, la plupart sont uniques. Si je refais un modèle, le motif du papier, sa couleur diffèrent. Je suis inspirée principalement par les imprimés japonais des papiers, qui sont d’une beauté et d’une finesse qui magnifient mes pliages. Et leur diversité de couleurs et de motifs semble infinie ! Les pliages d’origami, eux-mêmes sont très variés et les possibilités de bijoux plus grandes encore... Pour l’instant, voici les origamis que je transforme en bijoux : la grue, le plus connu et le plus emblématique des origamis – elle est symbole de paix, de longévité, de chance et de fortune - deux formes de papillons, le bouton de lotus et le paon qui fait la roue.
Je ne peux vous garantir que mes petites ailes de papier vous porteront chance en les portant mais il est certain qu’elles attireront les regards, la curiosité et l’admiration… ! »
Les bricoles de Maï – Autodidacte, Maï commence à travailler le cuir pour le plaisir en se fabriquant ses propres sacs, et se lance finalement dans la confection de bijoux en octobre 2010.
Inspirée par la vie quotidienne, curieuse de tout, elle crée ses bijoux au gré de ses envies.
Des petits nœuds, des fleurs, un univers féminin et romantique pour sa première collection, mariant le cuir tantôt au tissu, tantôt aux plumes, mais qui pour autant ne se fixe pas de limite de genre, créant simplement ce qu'elle a envie de créer.
Little Pop – Après avoir obtenu son diplôme de styliste, Marine se forme au management de la mode, ce qui lui donne envie de mettre ses propres créations sur le marché ! Elle s'inspire de voyages, de poésie et de gourmandise pour réaliser des bijoux « pop » en petites séries fréquement renouvellées.
Rien que pour les enfants
Pili – « Peintre autodidacte née à Cordoue en Andalousie j’ai travaillé dans le domaine de l’agencement et la décoration d’intérieur pendant 25 ans.
Puis, j’ai décidé de me consacrer à la peinture, une passion de toujours, j’ai commencé à exposer mes toiles POP ( Pilar Ortega Pastor ) travail à l’huile et au couteau, depuis plus de 10 ans.
Il y a environ deux ans, alors que j’écrivais un conte pour enfants ( j'écris depuis la naissance de ma fille ainée), l’idée m’est venue d’en faire l’illustration. Je me suis vite rendue compte que je rentrais dans un monde, qui en fait, ne m’avait jamais quitté : L’enfance, une petite enfance que je souhaite à tous les enfants du monde tellement elle a été belle pour moi. J’ai donc créé la galerie de pili (pili, diminutif que l’on donne aux petites filles prénommées pilar).
Je crois que mes toiles « pili » sont destinées à la fois aux enfants et aux parents qui ont toujours un petit coin de rêve en eux ! comme moi.
Je peins les toiles pili en accord avec POP, je suis toujours dans le relief, l’épaisseur, la matière. Il ne me reste plus qu’ à me lancer un jour prochain dans la sculpture ».
Élephant et poupée russe – Il était une fois un éléphant, il était une autre fois une poupée russe. Nul n'aurait cru cela possible, mais ils vinrent un jour à se rencontrer, et l'inimaginable en jaillit.
Oyez ! Oyez ! La Geste de l'Éléphant et de la Poupée Russe ! Il était un éléphant pour la seconde fois, et non la dernière, et qui, d'une démarche élaborée, faisant des pas de deux, des gigues, ou des polkas, balançant nonchalamment sa trompe et sa queue le long du chemin, gigantesque et placide, il n'était pourtant pas un pachyderme ordinaire. Pachyderme signifie à la peau épaisse; or, celui-ci, cet éléphant-là, ce n'était pas son cas !
Je lis la surprise dans vos yeux ébahis, et comme je la comprend... Mais les faits sont là, cet éléphant n'avait la peau ni épaisse ni ridée, ni parcheminée ni flasque. Et puisqu'il me faut tout vous révéler afin de bien comprendre les enjeux, sa peau était bigarrée, picaresque, arlequine, caméléon, somme toute ex-tra-va-gan-te ! Et c'est pourquoi il était constamment entouré d'enfants vêtus tous comme lui : Leurs accoutrements étaient cousus de perles colorées, semés de paillettes étincelantes, constellés de dentelles fines et délicates, de riches brocarts moirés, de soies et de tulles bariolés si étonnamment assemblés, déployés sur toutes leurs personnes et si parfaitement ajustés, que c'est à peine si dans la cohue, au sommet du Géant encarnavalé, on distinguait, particulièrement concentrée malgré le chahut, – et les gesticulations intempestives de son compagnon.
Juchée solennellement derrière une immense machine à coudre bardée de fils arc-en-ciel, si affairée qu'elle rattrapait machinalement au vol ses outils volatiles, tout en guidant l'étoffe et la passementerie, cousant les boutons, les broderies, les panaches et les ceintures, les basques et les volants de ce joyeux cortège ambulant, Il y avait une poupée russe qui répondait amicalement, et sans accent, lorsque de partout on ne cessait de lui demander comment se procurer un déguisement si chamarré: « Vous êtes agneaux, et désirez vous fondre parmi les loups ? Papillon, vous souhaitez vous métamorphoser en fleur ? Vous êtes cowboy, et enviez les indiens ? Vous en avez assez d'être une marâtre, et désirez vous métamorphoser en princesse ? Alors ne cherchez plus vainement ce que l'éléphant et la poupée russe vous apportent modiquement ! Nous terminons actuellement notre grand tour du monde, une folle épopée ! Et nous en avons rapporté plus de costumes étonnants et somptueux qu'il n'en faut pour fourbir un régiment dégingandé ! »
Margotte aux Pomme – « J'ai acheté ma première machine à coudre peu après la naissance de ma fille ainée... j'aimais déjà beaucoup faire des choses de mes 10 doigts... bricoler, peindre, faire des cartes, de la mosaïque... si en plus je pouvais faire ce que je voulais de bouts de tissus, ce serait parfait !!!! Après beaucoup, beaucoup, beaucoup d'essais, je suis devenue complètement accro à la couture ! Mon plus grand plaisir : avoir une idée en tête et me lancer, sans patrons, sans filets, et « sculpter » mon tissu ! Parfois ça marche, parfois ça rate, mais qu'est ce que c'est agréable !!!!
Ma première source d'inspiration ? Mes enfants... oui, c'est trop facile, mais vraiment, ce sont les juges les plus intransigeants ! Pas de limite dans les couleurs, les formes... mais attention aux petits détails, aux petits plus qui feront que les créas seront acceptées (ou pas). Pour le reste, tout ce que je vois peut être source d'inspiration... une affiche de pub dans la rue, une photo sur un blog, un costume dans un spectacle... mon cerveau est toujours en mode « repérage d'idée » malgré moi !
Comme j'ai commencé à coudre pour les enfants, il allait de soi que j'allais travailler surtout pour eux ! Des vêtements solides, colorées, et pratiques, des jouets qui ne feraient pas de bruits mais avec lesquels on s'amuserait vraiment... j'aime que mes créations racontent quelque chose, détournent un objet traditionnel... il faut que je m'amuse à créer, que le résultat de mon travail ne soit pas vu partout. Pas facile avec la multitude de sites et blogs qui existent ! Alors je mélange mes tissus et mes rubans, je cherche des formes inédites, je mixe ancien et moderne et j'essaye de créer des objets ludiques et accessibles ! »
Ève et compagnie – « Alors, moi c'est Ève, maman de 3 loulous toujours, infirmière en psychiatrie souvent, et couturière de plus en plus... quand on compte ça fait du boulot... j'ai presque 38 ans, j'y tiens... je couds depuis assez peu de temps, c'est un parcours initiatique, avant ça, j'ai touché à tout, j'ai bricolé, amélioré, customisé des meubles, des objets de déco... toutes sortes de choses... La couture m'est pas venue tout de suite... il fallait du matériel que je n'avais pas, mais à force de ne pas trouver de vêtements à mon goût et à celui de mes enfants... je me suis lancée... les fringues pour petit garçon sont pas souvent très marrantes... j'ai pris mes ciseaux, du tissu et je m'y suis mise... j'aime les choses, rigolotes, un peu décalées... c'est mon côté "rock'n'roll" on y peut rien... ce que j'aime dans la couture, c'est les mélanges improbables d'imprimés, les matières... il y a tellement de jolis tissus... je suis une addict des Liberty of London, que je mixe volontiers avec du jean... je rajoute de jolis boutons ou pas... bref, je m'éclate très sérieusement... ! il y a tellement de choses à faire, de nouvelles idées à explorer... que je n'ai pas fini de sévir !
Mon choix se porte plus facilement sur des motifs rigolos, parce que je n'aime pas les choses cul cul... trop classique... j'aime quand c'est gai... ! le mieux, c'est quand mon gamin est heureux de porter un des tee-shirts que je fais... je me dis que le pari est gagné... les vêtements pour enfants sont souvent consensuels... et je n'aime pas ça... c'est le mélange des genres qui me plaît... et puis, je travaille toujours sur du coton parce que c'est confortable... Après tu peux broder, je suis rock'n'roll, enervée, excitée, pipelette, le verbe haut, boulimique de travail, en action toujours, gaie, morte de rire, épuisante, chiante, pénible aussi, j'adore les fringues, les jolies choses, les couleurs, le kitch, le too much... j'écoute de la musique toujours... Je couds parce que ça me repose, me calme et me vide la tête, et que l'on est jamais si bien servie que par soi même...! »
Mon Petit Bout d’Ailleurs – Nadia, 31 ans diplômée en marketing et créatrice de mode par passion depuis l'âge de 15 ans et Thierry 34 ans ingénieur de formation forment le duo à la base de la création de la marque. Depuis toujours, Nadia rêve secrètement de mettre à profit son parcours multiculturel et de créer quelque chose sous le thème du mélange des cultures. Quoi elle ne le savait pas encore... Le déclic survient juste avant que bébé n'arrive. Les envies de la grossesse se transforment alors en envie d'autre chose... Envie de créer, envie de liberté, envie de nouveauté, envie de partager. Nadia ressort son vieux projet du placard et les "hormones" aidant, elle décide de le concrétiser. Ce qu'elle souhaite c'est parler d'autres cultures à son bébé à venir et à tous les enfants. Le vêtement s’impose alors à elle parce qu'elle aime la mode et parce qu'il peut être assimilé à une « seconde peau », quelque chose que l'on garde au plus près de soi. Nadia se dit qu'il est le véhicule idéal pour faire voyager les enfants, leur faire toucher du doigt d'autres cultures, leur faire appréhender de façon originale et gaie cet ailleurs qu’elle apprécie et qu'elle veut partager avec eux. Elle parle de son idée à Thierry qui s’en trouve séduit. Ensemble ils se lancent dans l’aventure et créent une marque de vêtements pour enfant autour du thème du voyage, de la découverte de l’autre et du mélange des cultures.
Nadia puise son inspiration dans les contrastes et les différences et propose des produits raffinés qui racontent une histoire. Plus que de simples objets, la créatrice veut offrir aux enfants, un petit bout d'ailleurs, chaleureux, optimiste et rempli d'émotions, ...
Jolis rendez-vous
Nathalie Almeida - Azkan, fils du grand Nord & Azkan et la guerre des loups Dédicace le samedi 3 décembre - 15 h à 18 h
À l’occasion de la sortie du tome 2 des aventures d’Azkan le loup blanc, Nathalie Almeida dédicacera ce roman à mettre dans toutes les mains dès 9 ans. Écrit à la première personne (c’est Azkan qui s’exprime), il aborde sans avoir l’air d’y toucher les thèmes de la différence, du racisme, de l’organisation de la société... Il a été mis à l’honneur de la vitrine de Zigouzis « Grands gentils loups » en octobre 2010 aux côtés de « Si Versailles m’était conté par un loup » d’Ève Grosset.
Tatiana Domas - On ne chassera pas Miralda & La rivière aux mille couleurs Dédicace le samedi 3 décembre - 14 h 30 à 20 h et le dimanche 4 décembre - 17 h à 20 h
Illustratrice jeunesse, Tatiana se prête avec plaisir aux séances de dédicace. Elle offrira un petit dessin personnalisé à chaque jeune lecteur lui apportant le tome 1 ou 2 des aventures de Miralda. Cette drôle de sorcière à récemment été à l’honneur de la vitrine de Zigouzis, « La sorcière qui n’a peur de rien et ne fait peur à personne ».
Rencontre avec le Père Noël Dimanche 4 décembre 2011 - 14 h à 20 h
Cheminée ou pas, tous les enfants attendent son passage avec impatience ! Certains vont le voir en courant et lui confient la fameuse lettre porteuse de tout leurs souhaits. D’autes frémissent face à sa grande barbe blanche... Entre sourires et larmes, la rencontre avec le Père Noël est souvent drôle et émouvante. Mais qu’il est agaçant d’être sollicité par un photographe pour payer (souvent très cher) un souvenir de cette jolie rencontre. C’est pourquoi Zigouzis vous propose, comme tous les ans, d’immortaliser vous-même ce moment en photographiant ou en filmant vous-même la rencontre de vos enfants avec la légende vivante de Noël.
Des trouvailles à tester
Zigouzis
49 rue des Vinaigriers
Mêmes horaires d’ouverture que l’exposition
Le PonyCycle Noooon je ne suis pas tombée sur la tête ! Un poney en appart ou en pavillon c’est tout à fait possible. Celui-là ne prend pas trop de place : 78 x 36 x 95 cm. PonyCycle est construit à partir d’un cadre en acier robuste, recouvert d’un rembourrage doux et de très belle peluche. Quand l’enfant appuie des pieds sur les étriers, les pattes du poney s’écartent ; quand il relâche la pression, elles reprennent leur position initiale. Et ces mouvements font avancer Ponycycle sur ses robustes roulettes. Au pas, au trot, au galop, en fonction de l’énergie de son petit cavalier. Zigouzis est la première boutique en France à proposer ce fantastique jouet. On peut le commander dès à présent pour être livré début décembre.
La Drifter La Drifter, cet hybride trois roues de la trotinette et du trikke, est dédié aux enfants et aux adultes qui aiment le fun de la glisse, apprécient les sensations mesurées ou souhaitent se muscler en douceur. Ou tout cela à la fois ! Pour pratiquer la Drifter, il suffit de placer ses mains sur le guidon, et un pied sur chaque marchepied arrière. On peut, comme pour la patinette, se donner un peu d'élan au démarrage. Puis, comme avec le strikke, c'est le balancement de gauche à droite des hanches qui permet à l'engin d'avancer en dessinant de petites courbes paraboliques. L'engin est doté d'un frein apprécié sur les sols en pente.